Le coût d’un appui de chirurgie réfractive dépend de certains facteurs à savoir : les centres et cliniques esthétiques, le chirurgien, le modèle de technique et de matériel employé lors des opérations.
Dans certains gestes chirurgicaux, on doit faire face aux gênes des patients même avec des technologies traditionnelles en chirurgie réfractive et qui sont très onéreuses.
Aujourd'hui, et avec l'essor technologique incessant, le laser Excimer ou le laser Femtoseconde de dernière génération évoquent un coût d'achat unitaire d’environ 500 000 euros (hors entretien).
Types d’agissements de la chirurgie réfractive Tunisie aux lasers
Dans cette spécialité, toute technique de correction de la vision reposant sur le remodelage du profil cornéen via le laser Excimer s’appelle technique « photoablative ». Leur utilisation, dans plus de 90% des cas, vise les opérations de la myopie, l’hypermétropie, l’astigmatisme et occupent une proportion importante des opérations de la presbytie. Cette correction au laser prendra la forme de diverses dispositions baptisées LASIK, PKR, LASEK, EpiLASIK etc.
A noter que le point commun entre ces multiples procédés est l’amélioration de la puissance optique de la cornée en réformant sa courbure antérieure.
Cette réforme est accomplie à travers à un remodelage géométrique réalisé via le LASER EXCIMER.
Ainsi, c’est le LASER EXCIMER qui permet de modifier positivement la malformation optique. D’autre part, l’utilisation du laser femtoseconde en LASIK vise la réalisation d’une découpe de capot cornéen superficiel, appelé encore volet cornéen, ou volet stromal (niveau loin de la vision).
Pour savoir plus sur leur rôle, de modifier le pouvoir optique de la cornée, on va en savoir comment ces techniques compensent le défaut réfractif à corriger : myopie, astigmatisme, hypermétropie et presbytie.
1- LASIK et les façons où l’on effectue la correction Excimer
Côté pratique, le LASIK réclame une ouverture légère correspondant à l’accomplissement d’un CAPOT cornéen, remis en place lorsque la sculpture est finie.
Dans un autre cadre, on parle de la découpe du capot cornéen qui se réalise par un autre laser, désigné laser femtoseconde. Ce dernier, qui ne corrige pas le défaut optique, vise principalement à remettre la correction par le laser EXCIMER sous le capot dont il permet la réalisation.
Ici, on note que beaucoup de chirurgiens, n’ayant pas accès à la technologie femtoseconde, optent en contrepartie vers une autre solution permettant de découper le capot sans laser, appelée microkératome mécanique.
Parmi les avantages du laser femtoseconde, affaiblir la précision de la découpe (centrage, diamètre et épaisseur).
2- Les techniques où l’on effectue la correction au laser Excimer en surface
A travers ces techniques, le chirurgien cherche pour que l’épithélium cornéen soit ôté alors que cela ne nécessite pas de découpe de capot. En pratiquant la technique de pelage, en parallèle du choix de reposer l’épithélium pelé après correction, les différences entre les techniques de surface : PKR, LASEK, EpiLASIK, seront bien définies De nos jours, la PKR « optimisée » a pris la place du LASEK et Epi LASIK puisque les bénéfices cliniques du LASEK et de l’EpiLASIK, où on remet l’épithélium antérieurement pelé plutôt que de déloger un épithélium « neuf » balayer comme en PKR, n’ont pas été confirmés.
Il est à noter enfin que l’avantage capital des deux techniques, (LASEK et EpiLASIK, consiste en leur substantif, rappelant vigoureusement le mot LASIK, pour en apporter un bénéfice véridique en « marketing ».
Différence majeure entre LASIK et laser de surface (PKR)
Pour conclure avec ces spécialités, on ajouterait ce dernier point de différence en pratiques. Sachant qu’il n’existe aucune différence en termes de conséquences entre le LASIK et les techniques de surface (PKR, LASEK, EpiLASIK) en matière de maladie de myopie et astigmatisme myopique associé, les techniques de surface demeurent l’éventuel choix du côté des patients puisque la cornée est trop fine et/ou asymétrique pour le LASIK.